Activités du groupe Comenius – I ère année ( 2012-2013 )
En
train de réaliser la présentation de notre lycée en Power-Point pour la première
réunion de projet en Italie, à Altofonte. Octobre, 2012.
Carte de voeux
adressée par le groupe Comenius du Lycée « Traian Doda » de Caransebes / Roumanie
à tous ses partenaires de projet à l’occasion du Noël 2012.
Le 1er Mars - La
Fête du „Mărțișor”
Qu'est-ce que le
"Martisor" ?
Chaque année, au 1er Mars, les Roumains perpétuent une tradition millénaire
marquant l’arrivée du printemps et que l’on appelle mărţişor. Les
Daces, ancêtres des Roumains, fêtaient
l’arrivée du printemps en offrant d’une manière symbolique des monnaies
enfilées. Elles symbolisaient la fertilité et, en fonction du matériau, argent,
or ou bronze, elles montraient le statut social de celui qui faisait le cadeau.
Le nom populaire du mois de mars, « mărtisor », provient du
mot d’origine latine « martius ». Le Martisor est donc le diminutif de "martie - mars", c’est une fine ganse formée de deux fils tressés, l'un blanc
et l'autre rouge, auxquels on attache une petite figurine en bois ou en métal
(un cœur, une lettre, une fleur, un ramoneur, un fer à cheval ou un trèfle à
quatre feuilles), qui joue le rôle de porte-bonheur. Les moins paresseux ou les
plus habiles prendront le temps de confectionner de leurs mains ce joli présent
printanier. On offre le Martisor à ses proches. Les hommes l’offrent aux femmes
avec le vœu d'avoir un beau printemps ensoleillé. On porte le
"Martisor" attaché au revers des vestons ou noué au poignet.
Notre groupe Comenius du lycée « Traian Doda »de Caransebes, Roumanie, offre à
tous ses partenaires de projet un martisor virtuel, symbole du printemps et de
l’amitié, accompagné de nos meilleurs vœux.
En
train de réaliser la présentation de notre lycée en Power-Point pour la première
réunion de projet en Italie, à Altofonte. Octobre, 2012.
Chaque année, au 1er Mars, les Roumains perpétuent une tradition millénaire marquant l’arrivée du printemps et que l’on appelle mărţişor. Les Daces, ancêtres des Roumains, fêtaient l’arrivée du printemps en offrant d’une manière symbolique des monnaies enfilées. Elles symbolisaient la fertilité et, en fonction du matériau, argent, or ou bronze, elles montraient le statut social de celui qui faisait le cadeau. Le nom populaire du mois de mars, « mărtisor », provient du mot d’origine latine « martius ». Le Martisor est donc le diminutif de "martie - mars", c’est une fine ganse formée de deux fils tressés, l'un blanc et l'autre rouge, auxquels on attache une petite figurine en bois ou en métal (un cœur, une lettre, une fleur, un ramoneur, un fer à cheval ou un trèfle à quatre feuilles), qui joue le rôle de porte-bonheur. Les moins paresseux ou les plus habiles prendront le temps de confectionner de leurs mains ce joli présent printanier. On offre le Martisor à ses proches. Les hommes l’offrent aux femmes avec le vœu d'avoir un beau printemps ensoleillé. On porte le "Martisor" attaché au revers des vestons ou noué au poignet.
Notre groupe Comenius du lycée « Traian Doda »de Caransebes, Roumanie, offre à tous ses partenaires de projet un martisor virtuel, symbole du printemps et de l’amitié, accompagné de nos meilleurs vœux.
Carte de voeux
adressée par le groupe Comenius du Lycée « Traian Doda » de Caransebes / Roumanie
à tous ses partenaires de projet à l’occasion du Noël 2012.
Le 1er Mars - La
Fête du „Mărțișor”
Qu'est-ce que le
"Martisor" ?
Chaque année, au 1er Mars, les Roumains perpétuent une tradition millénaire marquant l’arrivée du printemps et que l’on appelle mărţişor. Les Daces, ancêtres des Roumains, fêtaient l’arrivée du printemps en offrant d’une manière symbolique des monnaies enfilées. Elles symbolisaient la fertilité et, en fonction du matériau, argent, or ou bronze, elles montraient le statut social de celui qui faisait le cadeau. Le nom populaire du mois de mars, « mărtisor », provient du mot d’origine latine « martius ». Le Martisor est donc le diminutif de "martie - mars", c’est une fine ganse formée de deux fils tressés, l'un blanc et l'autre rouge, auxquels on attache une petite figurine en bois ou en métal (un cœur, une lettre, une fleur, un ramoneur, un fer à cheval ou un trèfle à quatre feuilles), qui joue le rôle de porte-bonheur. Les moins paresseux ou les plus habiles prendront le temps de confectionner de leurs mains ce joli présent printanier. On offre le Martisor à ses proches. Les hommes l’offrent aux femmes avec le vœu d'avoir un beau printemps ensoleillé. On porte le "Martisor" attaché au revers des vestons ou noué au poignet.
Notre groupe Comenius du lycée « Traian Doda »de Caransebes, Roumanie, offre à tous ses partenaires de projet un martisor virtuel, symbole du printemps et de l’amitié, accompagné de nos meilleurs vœux.
L’équipe TICE a réalisé et publié cette carte de Pâques
2013, avec des voeux en franҫais, en
italien, en espagnol, en polonais et en roumain. Mars, 2013
Visite de documentation au Musée d’Histoire et d’Ethnographie de la
ville, pour réaliser la présentation en power-point du costume traditionnel
roumain. Avril, 2013.
Maison en bois d'un garde-forestier, datant de 1854
Intérieur de la maison
Métier à tisser
Couverture tissée au métier.
Costumes traditionnels de notre région et berceau en bois.
Gilet brodé en cuir de mouton.
Gilet en cuir de mouton.
Manteau d'homme, en fourrure de mouton , brodé.
Gilet de femme, brodé et doublé de fourrure de mouton.
Manteau d’homme
en étoffe épaisse de laine, tissée et brodée main .
Panneaux avec des
photos de l’église de Densus, la plus ancienne de notre zone. Mars, 2013.
En blouses et chemises traditionnelles roumaines, le groupe
Comenius du Lycée “Traian Doda »
de Caransebes présente le power-point « L’Artisanat
traditionnel roumain », à la réunion de projet organisée à Marseille, au
Collège Henri Barnier. Mai, 2013.
Le groupe vocal apprend
des chansons traditionnelles. Juin 2013.
Le groupe folklorique apprend une suite de danses traditionnelles du Banat. Avril-mai, 2013.
On a travaillé sur le champ lexical du patrimoine pour préparer le dictionnaire multilingue.
Travail en classe sur le champ lexical du patrimoine. Juin, 2013.
Darius Birescu apprend le travail du bois dans un atelier de sculpture, lors de la réunion de projet organisée à Starachowice. Octobre, 2013.
Au centre-ville, devant l’église St.Michel, construite entre 1350-1487, en style gothique. Devant l’église, de dresse la statue équestre du roi Matei Corvinul / Matthias Corvin Iᵉʳ , l'un des plus grands rois de Hongrie et de Transylvanie, régnant entre 1458-1490.
Activités du groupe Comenius
II-ème année du projet 2013-2014
II-ème année du projet 2013-2014
Darius Birescu apprend le travail du bois dans un atelier de sculpture, lors de la réunion de projet organisée à Starachowice. Octobre, 2013.
A
la fin du spectacle final commun „Amitié et diversité”, tous les élèves
partenaires chanteront ensemble la chanson „Soleil” de Grégoire.
Nous avons
choisi cette chanson en octobre 2013, lors de la réunion en Pologne, pour le
message généreux qui invite à la tolérance, à l’ouverture d’esprit, à l’amitié:
SOLEIL de Grégoire
On n'a pas le même drapeau,
Ni la même couleur de peau,
On n'a pas le même langage,
La même culture, les mêmes images.
On n'a pas les mêmes racines,
Les mêmes idoles qui nous fascinent,
Mais chacun de nous est vivant,
Avec la même couleur de sang.
Mais on a tous le même Soleil
Et la même Lune sur nos sommeils
Et on a tous une main à tendre
Peut-on encore, vraiment attendre ?
On n'a pas les mêmes coutumes,
D'autres rites, d'autres costumes,
On n'a pas les mêmes histoires,
Mais leur mélange fait l'histoire.
On n'a pas les mêmes parents,
Mais on est tous encore enfant,
Mais tous issus d'un métissage,
Devenu fou mais né si sage.
Mais on a tous le même Soleil
Et la même Lune sur nos sommeils
Et on a tous une main à tendre
Peut-on encore, vraiment attendre ?
Car on a tous la même planète
Qui nous supplie d'être moins bête
Et on a tous une main à tendre
Peut-on encore, vraiment attendre ?
Une main avec nos différences,
Et le pouvoir d'en faire une chance.
Car on a tous le même Soleil
Et la même Lune sur nos sommeils
Et on a tous une main à tendre
Peut-on encore, vraiment attendre ?
Car on a tous la même planète
Qui nous supplie d'être moins bête
Et on a tous une main à tendre
Peut-on encore, vraiment attendre ? BIS
Notre équipe TICE a réalisé et publié cette carte de
voeux pour la nouvelle année 2014. Le
petit hibou, symbole de notre lycée y est présent dans un petit sapin. Décembre,
2013
Décembre 2013, dans le hall du lycée, le
groupe vocal dirigé par Mme Dorina Coste, présente un petit concert devant les
professeurs et les élèves. Au programme, des noëls traditionnels roumains.
Pour
le spectacle commun final, en janvier 2014, nous avons choisi une chanson traditionnelle du Banat,
découverte par Tiberiu Brediceanu (1877-1968) - musicien et compositeur du Banat.
Passionné du folklore roumain de notre région, il a publié plusieurs recueils
de chansons traditionnelles ou des pièces chorales inspirées du folklore. ”Ce
vii, bage, târzior ?” en est un excellent exemple, extrait du „Caiet”/Cahier
III, paru en 1920. Voici les paroles de cette chanson:
Ce
vii bage târzior, băgișorul meu,
Ori
de mine nu ți-i dor, măi băgiță drag. -BIS
Ba
mi-i dor, mândruțo, tare
Nu
pot trece valea-i mare.
Nu
pot trece valea-i rea,
Mândrulița
mea.
Că
valea-i cu pietricele, băgișorul meu,
N-o
poți trece de guri rele, măi băgiță drag. -BIS
Că
valea-i cu bolovani,
N-o
poți trece de dușmani.
Tu
nu vezi că lumea-i rea?
Au,
inima mea.
Frunzuliță,
pup de crin, mândrulița mea,
Spune-mi,
mândro, când să vin, mândrulița mea. -BIS
Seara
când răsare luna
Ca
să nu ne vadă lumea.
Tu
nu vezi că lumea-i rea?
Au,
inima mea.
Vino,
bage, prin grădină, băgișorul meu,
Când
o fi lumea la cină, măi băgiță drag.
Vino
bage prin ogradă, băgișorul meu,
Ca
nimeni să nu ne vadă, măi băgiță drag.
Numa
ceru și luna
Să
ne știe dragostea.
Tu
nu vezi că lumea-i rea?
Au,
inima mea. -BIS
En mars 2014, on travaille à la
présentation en Power-Point de l’artisanat roumain, en vue de la réunion finale à Caransebes, dans notre lycée.
Le panneau FRANCOPHONIE, réalisé début mars, avec le concours d’un groupe d’élèves coordonnés par Mme Rodica Eugenia Fiedler et Mme Oana Erimescu.
Tous
les cinq Power-point que nous avons réalisés et présentés à chaque réunion de
projet commencent par une page qui mentionne le projet Comenius et son logo, le
nom de notre projet „La mémoire culturelle des peuples”, de même que le nom de
notre lycée et son logo.
Le panneau FRANCOPHONIE, réalisé début mars, avec le concours d’un groupe d’élèves coordonnés par Mme Rodica Eugenia Fiedler et Mme Oana Erimescu.
Le 21 mars 2014, trois élèves du groupe
Comenius ont participé à Resita -chef-lieu de notre département- au concours „MADE FOR EUROPE ” où ils ont
présenté le dictionnaire multilingue, l’un de nos produits finaux. Suite à cette
participation, notre groupe a reҫu le IIIe prix au niveau du département.Tous
les groupes participants ont eu l’opportunité de disséminer et de valoriser
leurs projets.
Le
1er avril 2014, à l’occasion de la réunion finale du projet, organisée par notre lycée,
tous les élèves partenaires présents ont fait une répétition générale de la
chanson „Soleil”, en vue du spectacle „Amitié
et Diversité” qui allait avoir lieu le soir.
Photo du groupe Comenius „La mémoire
culturelle des peuples”, après le spectacle „Amitié et Diversité”. Tous heureux
du succès remporté et contents d’avoir réalisé ensemble ce produit final. Le 1er avril, 2014.
A l’occasion des Pâques 2014, les élèves ont
pris cette photo au centre-ville et ensuite ils y ont inscrit en „paint” des
voeux en franҫais, en italien, en espagnol, en polonais et en roumain.
VISITE DE DOCUMENTATION SUR NOTRE PATRIMOINE HISTORIQUE, ETHNOGRAPHIQUE ET CULTUREL
CLUJ-NAPOCA, 31.05-1.06.2014
Ancienne capitale de la Transylvanie, Cluj-Napoca est actuellement la troisième ville du pays par la population. La ville possède un très riche patrimoine historique, ethnographique et culturel.
Visite au Musée ethnographique de la Transylvanie. Les portails
sculptés en bois du Maramures ont été
présentés dans le power-point sur l’artisanat roumain, à la réunion
finale de projet, organisée à Caransebes, dans notre lycée.
Céramique des zones ethnographiques de la Transylvanie.
Exposition de costumes
traditionnels de toute les zones ethnographiques de Transylvanie.
Les particularités de ces
costumes ont été décrites dans le power-point sur les costumes traditionnels
roumains, présenté en France, au collège H.Barnier de Marseille.
La Louve capitoline ou
Louve du Capitole est une donation de la ville de Rome, ce qui rappelle que la
ville de Cluj, de même qu’une grande partie de la Transylvanie furent colonisées par
les Romains.
La statue de Saint
Georges tuant le dragon est une copie de celle du Palais de Prague, réalisée au
Moyen âge. Cette statue se trouve devant l’Église Réformée Calviniste datant du xvie siècle, actuellement en restauration.
Nicolae
Grigorescu (1838 – 1907) est considéré comme le plus grand peintre
roumain. Autoportrait.
Nicolae Grigorescu, La
jeune bergère.
Devant
le Musée d’art, abrité par le palais Bánffy, l'un des plus beaux ouvrages baroques de la
Transylvanie. Tout le
groupe est content d’avoir découvert des chefs-d’oeuvre de la peinture roumaine.
Devant l’ imposante statue équestre de Michel le Brave (1557-1601), le prince qui réussit, pour la première fois, en 1600, à unifier les trois principautés historiques roumaines : la Transylvanie, la Moldavie et la Valachie.
Place Avram Iancu. Fin
d'une visite de documentation enrichissante, dans une ville fière de son
patrimoine historique, ethnographique et culturel.
Le
groupe TICE, élèves des classes d’informatique,
en train de réaliser la couverture du portfolio „Notre héritage culturel”. Parmi
eux, les auteurs d’articles en franҫais ou en anglais inclus dans le portfolio. Début juin, 2014.
Le
groupe TICE travaille à la réalisation de la couverture roumaine du
dictionnaire multilingue. C’est l’un de nos produits finaux communs. Chaque équipe
partenaire a collaboré à traduire les mots et les expressions usuelles, le champ
lexical du patrimoine.
Grâce
aux activités prévues dans le projet „La mémoire culturelle des peuples”, le
groupe folklorique de notre lycée a repris ses forces et il est de nouveau
présent aux événements de notre ville. Ici, le groupe „Tibiscum”, tout content d’avoir
présenté quelques danses du Banat à une rencontre amicale de 10 ans des anciens
élèves de notre lycée. Belle réussite, bonne valorisation de leurs répétitions
assidues, pendant les deux années du projet ! Félicitations !
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